U'thaï, femme au pays du sourire.
Parce que partons à la découverte de ce petit bout d'île : Pamilacan.
1ere impression : paysage de carte postale.
Le cadre est splendide: des plages de sable blanc, des lagons aux eaux turquoises... En bref, des paysages que l'on ne voit souvent qu'à la télé ou dans des magazines.
2eme impression : le calme et la quiétude règne en maîtres dans cet endroit. On s'y sent immédiatement bien.
Parce qu'il était une fois, un archipel paradisiaque à la population si accueillante, aux falaises si noires, aux eaux si claires qu'il faut se pincer à deux fois pour se dire : C'est bien le paradis, oui, mais sur mer !
Pamilacan est donc une petite île-village de 2000 habitants environ, une sorte de communauté où tout le monde se connaît et vit ensembles.
Très surprenant pour moi, c'est également une île sans eau courante, où il faut aller aux puits chercher de l'eau claire, sinon tout se fait avec l'eau de mer. De plus, pour l'électricité, c'est le strict minimum, un générateur la distribue chaque jour de 18 h à 23 h.Retour aux sources.
On vit au rythme du soleil au milieu des coqs, poules, cochons, vaches, chèvres, canards....
Tranquillement nous visitons ce paisible village, ou l'on apprend qu'environ 300 familles vivent ici en autarcie.
Nous traversons des propriétés, des fermes, une école, ainsi que le petit musée de la baleine, sans oublier l'église!!
En bref, pour schématiser, pendant que les hommes pêchent en mer, les femmes prennent soin des habitations et des animaux.
Durant notre petit tour, nous assistons même à un match de volley-ball.
Difficile de trouver plus authentique dans un tel cadre paradisiaque ! Car la mer est partout, on fait 100m et on a un bout de plage de sable blanc, un cocotier, un petit bateau, un filet de pêche. Que c'est paisible !!
Parce qu'on finit cette superbe journée par le fruit le plus représenté sur cette petite île : j'ai nommé... la noix de coco !!!
D'abords un peu d'histoire.
Sur le net, voici ce qu'on peut lire : originaire du sud de l'Asie, la noix de coco est très populaire dans les cuisines indiennes, indonésiennes, africaines et sud-américaines. Elle fait partie de la famille des palmiers et connaît une production particulièrement florissante près de l'Equateur. Extrêmement nourrissant et polyvalent, le cocotier est indispensable à des millions d'habitants des pays tropicaux. Non seulement cet arbre leur fournit la noix, l'huile de coco et le sucre de coco (fabriqué à partir de la sève du cocotier), il sert également de combustible, de matériau de charpenterie, voire même de confection de vêtement..... bla bla bla !!!
Bref, à présent que nous connaissons son histoire : comment on l'ouvre ?
Oui mais voilà, ici, on se sent un petit peu concon avec cette noix là, dans nos mains inexpertes. N'est ce pas?
Marteau ? Coup de pied ? Lance flamme? La balancer contre le mur peut-être ? Tatata,..... ouf les Philippins arrivent avec leurs machettes !!!
Parce que la nuit tombe vite.
De retour sur le bateau, le ciel est noir. L'océan est encore plus sombre.
Tout le monde s'installe pour faire un tarot avant d'aller dormir !!!
Confortable la tente, avec matelas pneumatique, non ?